À moins de situation hors de notre contrôle, nous garantissons la possibilité d’un premier rendez-vous dans les 24h, parfois la journée, même si nous avons une annulation.

La chiropratique traite une multitude de problèmes, des maux de dos en passant par les migraines. En voici quelques-uns, mais n’hésitez pas à communiquer avec nous à cet effet pour plus d’informations.

• Sciatique

• Hernie discale

• Douleurs au cou

• Migraines et maux de tête chroniques

• Douleurs aux membres supérieurs (épaules, bras, mains, etc.)

• Douleurs aux membres inférieurs (genoux, jambes, pieds, chevilles, etc.)

• Vertiges et étourdissements

• Arthrite, arthrose

• Tunnel carpien, épine de Lenoir

• Etc.

Dans le domaine de la santé, au Québec, quel que soit le professionnel consulté, que ce soit chez votre médecin, votre dentiste ou votre chiropraticien, il n’y a pas de garantie de résultat. La loi dit alors qu’il y a : « obligation de moyens, et non de résultat ». Qu’est-ce que cela veut dire exactement? Cela signifie qu’un professionnel reconnu doit tout mettre en œuvre et prendre tous les moyens raisonnables à sa disposition, et ce, dans les limites de la science actuelle, pour vous venir en aide, mais qu’aucune garantie de guérison ne peut être donnée.

De trois façons : en cliquant sur le bouton PRENDRE RENDEZ-VOUS EN LIGNE, en nous écrivant à info@drrobidouxchiropraticien.com ou en nous téléphonant au 514-849-9991 ou au 1-800-385-9991.

De la même manière que certaines femmes accouchent si rapidement qu’elles n’ont même pas le temps de se rendre à l’hôpital, alors que, pour d’autres, le processus peut durer de longues heures, chaque situation est unique. C’est donc une question de cas par cas.

Il en va de même en ce qui concerne les problèmes pour lesquels vous consulteriez un chiropraticien : une personne pourra ressentir un soulagement après seulement quelques traitements, tandis qu’une autre nécessitera plusieurs séances avant d’obtenir les mêmes résultats. Chaque organisme réagit différemment et cette variabilité s’explique par de nombreux facteurs : l’état initial de la pathologie, la physiologie propre à l’individu, ses antécédents médicaux, son mode de vie, sa capacité de récupération, etc. Il est donc impossible de généraliser ou de prédire scientifiquement le nombre exact de traitements requis.

Tous les témoignages sont authentiques et proviennent de véritables patients. Il ne s’agit pas de comédiens et aucune rémunération n’a été offerte. Ce sont tout simplement des patients satisfaits, qui ont accepté de partager spontanément leur expérience et leur parcours afin d’aider d’autres personnes à mieux comprendre les bienfaits qu’ils ont eux-mêmes ressentis.

Non.

Oui, ces types de dossiers peuvent, dans certains cas, être couverts. Toutefois, l’acceptation de ces dossiers relève de la décision de chaque chiropraticien. Dans notre clinique, pour des raisons administratives et organisationnelles, nous ne traitons pas actuellement ce type de dossier.

Aujourd’hui, la plupart des assurances personnelles couvrent en tout ou en partie les frais chiropratiques, que ce soient les traitements ou la radiologie. Il y va de la responsabilité du patient de vérifier auprès de son assureur si c’est le cas.

Non, mais aucun examen radiologique ne pourra être fait.

Non. Le chiropraticien est un professionnel de premier contact et, tout comme votre dentiste, vous n’avez pas besoin d’ordonnance pour le consulter.

• Lundi : de 9h à 19h

• Mardi : de 9h à 17h

• Mercredi : de 9h à 19h

• Jeudi : de 9h à 17h

• Vendredi : de 9h à 15h

En argent comptant, par carte de débit, Visa ou Mastercard.

Oui, sur demande.

Oui, à proximité de la clinique, il y a de nombreux parcomètres sur les rues avoisinantes, autour du parc le Carré Saint-Louis ainsi que le stationnement de l’ITHQ (rue Malines) et Cherrier. De plus, la station de métro Sherbrooke est à 300 pieds de la clinique, tout à côté.

Au Québec, plus de 46 ordres professionnels sont regroupés sous l’Office des professions du Québec. On y retrouve notamment les médecins, dentistes, pharmaciens, opticiens, chiropraticiens, et bien d’autres.

Pour exercer, ces professionnels doivent être membres de leur ordre respectif et, pour plusieurs d’entre eux, avoir complété une formation universitaire rigoureuse, souvent de niveau doctoral. Leur pratique est strictement encadrée et réglementée par l’État québécois, puisque l’Office relève du ministre responsable de l’application des lois professionnelles.

En ce qui concerne l’ostéopathie, la situation est bien différente. Au Québec, l’ostéopathie n’est actuellement encadrée par aucun ordre professionnel reconnu. Cela signifie que, légalement, toute personne, peu importe sa formation de départ — qu’elle soit coiffeuse, plombier, ou toute autre profession — peut s’afficher ostéopathe et ouvrir une pratique sans qu’aucune vérification officielle des compétences ne soit requise. Il n’existe à ce jour ni encadrement gouvernemental uniforme ni diplôme d’ostéopathie officiellement reconnu par l’État québécois.

De plus, la communauté scientifique demeure très réservée quant à l’efficacité de plusieurs approches ostéopathiques. Certaines études ont conclu que, dans bien des cas, les effets observés ne dépassent pas ceux d’un simple effet placebo.

À l’inverse, il est important de préciser qu’aux États-Unis, les ostéopathes (D.O. – Doctor of Osteopathic Medicine) sont des médecins à part entière, formés en médecine complète et pleinement autorisés à diagnostiquer, prescrire et traiter, au même titre que les médecins allopathes (M.D.). Les États-Unis demeurent d’ailleurs le seul pays où l’ostéopathie est intégrée au système médical officiel.

En matière de santé, vous n’accepteriez pas de confier vos dents à un dentiste sans formation reconnue, ni vos yeux à un optométriste sans diplôme. Pourquoi en serait-il autrement pour votre colonne vertébrale, véritable pilier et centre de commande de votre corps?

Poser la question, c’est déjà y répondre.